Arnauld, A., Réponse générale au nouveau livre de M. Claude (Paris 1671, 12°).
Arnauld, A., Remarques sur une lettre de M. Spon, de la religion prétendue réformée, médecin à Lyon, contenant les raisons qui font prétendre à ces Mess[ieurs] la religion catholique pour nouvelle et la leur pour ancienne (Anvers 1681, 12°).
Arnauld, A., Réflexions sur l’éloquence des prédicateurs (Paris 1695, 12°).
Arnauld, A., Réflexions philosophiques et théologiques sur le nouveau système de la nature et de la grâce (Cologne 1685-1686, 12°, 3 vol.).
Arnauld, A., Dissertation de M. Arnauld sur la manière dont Dieu a fait les fréquents miracles de l’ancienne Loy par le ministère des anges. Pour servir de réponse aux « Nouvelles pensées » de l’auteur du « Traité de la nature et de la grâce » (Cologne 1685, 12°).
Arnauld, A., Réflexions sur un livre intitulé « Préservatif [...] » qui font voir le peu de solidité et de jugement de cet auteur dans la manière dont il combat « L’Exposition […] » de M. l’évêque de Meaux (Anvers 1682, 12°).
Arnauld, A., Le Calvinisme convaincu de nouveau de dogmes impies, ou la justification du livre du « Renversement de la morale » par les erreurs des calvinistes contre ce qu’en ont écrit M. Le Fèvre, docteur en théologie de la Faculté de Paris, dans ses « Motifs invincibles » et M. Le Blanc, ministre de Sedan, dans ses thèses (Cologne 1682, 12°).
Arnauld, A., Apologie pour les catholiques, contre les faussetez et les calomnies d’un livre intitulé : La Politique du clergé de France (Liège 1681-1682, 12°, 2 vol.).
Arnauld, A., De la Lecture de l’Ecriture Sainte en langue vulgaire (Rouen 1679, 12°).
Arnauld, A., Examen de quelques passages de la traduction française du Nouveau Testament imprimée à Mons (Rouen 1676, 12°).